Dans le cadre de la troisième édition du festival de Tanghin, des exposants et des restaurateurs se sont installés en vue de faire de bonnes affaires. Nous sommes allés à l’encontre de certains qui ont bien voulu s’exprimer. Lisez plutôt !
Adalou Koffi Simpliste le gérant du restaurant Callyser : « J’ai apprécié vu l’engouement et le mouvement qui se passe »
« Nous sommes venus ici pour nous fait connaitre la 3e édition du Festang qui a été lancé, il y a deux jours de cela. Nous sommes dans la restauration et le service traiteur. C’est un festival qui se passe très bien. J’ai apprécié vu l’engouement et le mouvement de la population de Tanghin qui vient visiter. C’est très intéressant ! J’espère que l’édition prochaine sera meilleure que celle-là. Aussi, nous remercions Dieu, malgré la crise actuelle, ça va au niveau des recettes.
Didier Sawadogo, responsable du restaurant Moogho VIP : « Tout se passe bien dans le meilleur des conditions »
Nous sommes présents à cette 3e édition en tant que digne fils de ce quartier qui nous a vus grandi. C’est vraiment important pour nous de prendre part à ce festival. On gère les choses avec les amis, on s’aide et tout le monde est content. On dire que tout se passe bien dans le meilleur des conditions. Par rapport à l’édition dernière, je peux dire que ça va malgré le contexte sécuritaire très difficile. Nous pouvons dire que même si ce n’est pas encore fini, nous sommes en train de réussir le pari de cette édition. En tout, il n’y a vraiment pas d’incident majeur, tout se déroule bien. On peut dire que l’organisation a un peu réussie ou elle sera réussie. On gagne avec un peu de clients mais ce n’est pas beaucoup. De toutes les façons, on ne se plaint pas. Le problème comme on le dit, est que le Burkina Faso vit dans un contexte difficile. Comme tout se déroule bien on ne peut que remercier Dieu car, le festang est la communion avec les fils de Tanghin, de Ouagadougou et du Burkina Faso. Cela est déjà essentiel.
Une autre restauratrice qui a gardé l’anonymat parle:
Tout se passe bien. Mais, il n’y a pas de marché. Par exemple, je pense que toutes les personnes qui ont pris les maquis ne devraient pas faire de la restauration. Voilà Normalement s’ils ne faisaient pas la restauration et la restauration était à part cela allait être bien.
Wanga Amza, exposant des produits de technologie au festival de Tanghin : « Dieu merci, il y a le marché ».
Aujourd’hui cela passe bien par rapport aux autres jours passés. Sinon, il y a de l’affluence mais bon le public vient pour visiter et nous poser quelques questions sur nos produits. Ils veulent savoir comment fonctionne nos outils. Dieu merci, il y a eu le marché.
Propos recueillis par Achille ZIGANI
Crédit photo: Parfait Fabrice SAWADOGO