ven 27 décembre 2024

Suivez-nous sur les réseaux sociaux

spot_img

Jean Luc Bambara : La femme au cœur de ses sculptures.

Né prince dans une chefferie de Garango, province de Boulgou dans le centre-est, sa magnifique histoire avec les arts remonte à sa tendre enfance ou il promène ses yeux sur tout ce qui l’enthousiasme qu’il traduit dans des dessins.

Avant de se lancer dans le monde professionnel, Jean Luc Bambara s’est formé en sculpture au Centre National de l’Artisanat d’Art (CNAA) auprès de son oncle et sculpteur Zibo Parfait Bambara. Il y resta six ans avant d-‘tre envoyé du centre pour indiscipline, semble-t-il.

Ayant pris conscience du long voyage vers la quête de perfection qu’il doit accomplir pour s’affirmer et monter son immense talent, il effectue des stages de perfectionnement aux Etats Unis, en Espagne et en Allemagne.

Depuis plus de 30ans, il réalise de grandes œuvres qu’il expose régulièrement aux quatre coins du monde tout en participant aux rendez-vous culturels de son pays.

En 2011, il fonde l’Espace Culturel Barso pour initier les jeunes aux arts et contribuer ainsi au développement du pays des hommes intègres.

Formateur dans cet espace, il intervient aussi pour des cours au département Arts Gestion et Administration Culturelle de l’Université de Ouagadougou et à l’Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature (ENAM) à Ouagadougou.

En partenariat avec l’Université de Séville en Espagne, l’artiste dispense des cours à l’Académie des Beaux-Arts de dette ville.

Jean Luc Bambara sculpte la pierre, le bois, le bronze et d’autres matériaux.

Au Burkina Faso, il est l’auteur de nombreuses sculptures monumentales à Ouagadougou (siège ECOBANK) et dans plusieurs régions du pays ( Djibo, Dori, Koupèla, Tenkodogo, Gaoua etc.) et à Laongo.

Dans cette collection, il nous donne à voir un monde de danseurs contemporains, un monde en fête ». Jean Luc promène un regard émerveillé sur le monde ou il recherche que la beauté. (…) la femme est omniprésente dans son univers. Elles exaltent le bonheur, célèbrent la pétulance de la vie et la volupté des corps. Les femmes semblent danser leur vie, elles entrainent le spectateur dans le mouvement d’un monde sans heurt, fluide et joyeux » dit de lui SQB.

Plusieurs fois lauréats du GPNAL du Burkina Faso, membre du jury à la Semaine Nationale de la Culture et du système des Nations Unies dans les compétitions culturelles.

La Rédaction

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

Publicité

spot_img

Publicité

spot_img

Publicité

spot_img

Publicité

spot_img

Plus d'articles

Vous ne pouvez pas copier le contenu de cette page