ven 22 novembre 2024

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Métiers de scène: L’association DAMBE renforce les capacités en « son » d’une quarantaine de personnes

Dans le but de contribuer à la formation des jeunes dans les métiers de la scène plus précisément dans le « secteur son », l’association DAMBE avec à sa tête Ibrahim KEITA, a initié des séances d’apprentissages. Et la cérémonie de remise d’attestations de cette première édition dans le cadre du projet pour tous, a eu lieu ce vendredi 04 décembre dernier au sein de l’espace culturel Napambeogo en présence des journalistes et de plusieurs personnalités en partenariats avec ce projet dont le directeur du Fonds de développement culturel et touristique Alphonse TOUGOUMA.

« L’objectif de cette formation initiée par l’association DAMBE, c’est que les ingénieurs de son, amateurs du Burkina Faso puissent arriver à se professionnaliser en même temps que tout le reste de la filière ; parcequ’on a plutôt tendance à faire des formations dans diverses actions culturelles et souvent on oublie ceux qui sont chefs des scènes  » tels ont été les propos du président de l’association DAMBE, Ibrahim KEITA à sa prise de parole.

Cette formation s’est tenue du 30 novembre au 04 décembre 2020 à l’espace culturel Napambeogo sis au quartier Gounghin de de la ville de Ouagadougou et a regroupé environ une quarantaine de participants du Burkina Faso et de la sous région. La dite formation était essentiellement axée sur deux modules.  » Pour le cadre de cette formation, nous avons eu deux grands thèmes qui étaient l’initiation aux consonnes numériques et l’initiation à la musique assistée par ordinateur (MAO) », certifie Eliezer OUBDA, formateur des bénéficiaires.

En rappel, cette initiative a pu avoir lieu grâce au financement de Accès Culture, l’Agence française de Développement (OAFD), l’Institut Français de Paris, le Ministère de la culture, des arts et du tourisme, et le Fonds de développement culturel et touristique, ainsi que d’autres partenaires et collaborateurs dont l’Institut français de Ouagadougou.

Pour l’heure, le bilan est positif d’un point de vue général selon les promoteurs, même si pour une première édition il ya eu biens d’écarts quant aux attentes des participants, que le comité d’organisation compte bien prendre en compte dans les séances à venir. Notons que ce projet constitue une série de formation jusqu’en 2024 et fera office de suivi après formation auprès des participants afin de véritablement les accompagner pour l’évolution de leurs carrières.

Asmaho ZOUNGRANA

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