La formation de 48 heures sur la technique de prise d’image au profit des communicateurs culturels du Burkina Faso s’est clôturée ce vendredi 25 octobre avec un cérémonial de remise d’attestations.
L’Association des communicateurs culturels du Burkina Faso (ACCBF) a organisé du 24 au 25 octobre la formation sur le thème : technique de prise d’image. Les participants ont reçu à la fin leurs attestations devant le président de l’événement, le « papi » Gaston KABORÉ et le représentant du parrain Remis Fulgence Dandjinou, ministre burkinabè en charge de la communication. L’occasion pour le Président de l’association , Souleymane Drabo de revenir sur les raisons ayant motivé cette initiative. » Nous sommes les communicateurs et en même temps les lecteurs, téléspectateurs, auditeurs et internautes. Nous avons constaté par moment des images et même des commentaires qui ne sont pas aussi fameux lors des différents reportages.
Nous avons jugé nécessaire d’aller à l’école auprès de ceux qui ont beaucoup de savoir. Disons les professionnels pour pouvoir améliorer notre travail et être compétitif sur le marché », explique le président Drabo.
Le ministre de tutelle à travers son représentant a tenu a féliciter le mouvement et l’esprit qui anime l’ACCBF et ses membres. L’imminent Gaston KABORÉ qui recevait l’événement à l’Institut Imagine démontre toute sa satisfaction devant ces jeunes. Cette personnalité culturelle a livré un discours emprunt d’enseignement , de sagesse et d’encouragement à cette structure d’hommes de médias.
En effet, ACCBF se veut un cadre d’échange, de partages d’idées entre journalistes, animateurs et ceux qui communiquent autour de la culture. Mieux élaborer des projets comme la formation qui ne doit pas forcément venir de la hiérarchie. L’ensemble des participants repartent visiblement satisfaits avec dans la tête, de nouvelles techniques et stratégie de prise de vue jusqu’au montage. Les formateurs pour leur part reçoivent des remerciements de partout.
Ainsi ces communicateurs culturels sont donc attendus sur le terrain afin de proposer d’autres images encore plus belles du Burkina. D’autant plus que la culture demeure un élément clé pour le pays et l’homme.
Moussa Filasko Kaboré
Crédit photo : Parfait Fabrice SAWADOGO
