ven 22 novembre 2024

Suivez-nous sur les réseaux sociaux

spot_img

Apolline Traoré, une figure emblématique de la cinématographie burkinabè

Née à Ouagadougou d’un père diplomate, Apolline Traoré est une réalisatrice burkinabè. Par ailleurs, la profession de son père lui fait parcourir le monde. A l’âge de 17 ans, la famille s’installe aux États-Unis d’Amérique où elle fait ensuite des études à l’Emerson College de Boston, un établissement specialisé dans les domaines de l’art et de la communication.

Dans les années 2000, elle fait son entrée dans le monde de la réalisation en sortant plusieurs courts métrages, notamment The Price of Ignorance (Le Prix de lignorance) en 2000, (sur la victime dun Viol à Boston, aux États-Unis, et Kounandi « La Personne qui porte chance) en 2003, (sur une naine rejetée de tous), film qui a été d’ailleurs sélectionné pour le festival international du film de Toronto en 2004. La production de son premier long-métrage interviendra en 2004, intitulé « Sous la clarté de la lune”.


Par la suite,  elle rentre dans son pays d’origine, le Burkina Faso en 2005, en vue d’apporter son savoir-faire au profit du cinéma burkinabè. Ainsi elle travaille avec feu Idrissa Ouedraogo, le célèbre réalisateur burkinabè. En 2008, elle réalise une série télévisée, “Le Testament”. Mais elle a été plus révélée au public par les longs métrages tels que « Moi Zaphira” en 2013, puis “Frontières” en 2018, un film récompensé par deux prix en février 2017 au Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO).

Son dernier long métrage « DESRANCES” a obtenu plusieurs prix au monde entier dont 3 Prix au SOTIGUI (SOTIGUI du Meilleur plus Jeune Acteur Africain 2019 avec EMLIN Jemima Naomi, Le SOTIGUI du Meilleur Acteur de la Diaspora et le SOTIGUI D’Or 2019 qui sont revenus à Jimmy JEAN LOUIS). La filmographie d’Apolline Traoré est assez remarquable, avec notamment “Le Prix de l’ignorance » en 2000, « Kounandi » en 2003, “Le Testament » en 2008, « Monia et Rama » en 2OO5, “Sous la clarté de la lune en 2004, “Moi Zaphira » en 2013, “Frontières » en 2018, et « Desrances » en 2019.

La Rédaction 

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

Publicité

spot_img

Publicité

spot_img

Publicité

spot_img

Publicité

spot_img

Plus d'articles

Vous ne pouvez pas copier le contenu de cette page