Le Ministre en charge de la Culture, des Arts et du Tourisme, Abdoul Karim Sango a reçu en audience, le mardi 26 mai 2020 à Ouagadougou, le Contrôleur Général de l’État de l’Autorité Supérieur de Contrôle de l’État et de Lutte contre la Corruption (ASCE/LC), le Pr Luc Marius Ibriga. Il s’est agi pour le Pr Ibriga, de venir faire le point des travaux du cadre de concertation des corps de contrôle de l’ordre administratif, tenu à Koudougou en janvier dernier.
L’hôte du jour, le Pr Ibriga, puisque c’est de lui qu’il s’agit dit être venu rendre compte des travaux du cadre de concertation des corps de contrôle de l’ordre administratif, tenu en janvier dernier à Koudougou. « C’est aussi l’occasion pour nous de solliciter l’appui du Ministre Sango pour l’aboutissement dudit projet, afin que son institution puisse se conformer à la directive de l’UEMOA », a-t-il ajouté. Le ministre de la Culture, des Arts et du Tourisme, Abdoul Karim Sango, entouré de son Directeur du cabinet et de deux membres de l’inspection technique, a tenu à encourager ses hôtes et s’est dit disposé à accompagner L’ASCE/LC pour la réussite de sa réforme. « Le contrôle est un élément fondamental qui permet d’anticiper les risques » a-t-I précisé.
Rencontre également au cours de laquelle, le Contrôleur général de l’État a remis un exemplaire du rapport du cadre de concertation au ministre Sango. Selon le Pr Ibriga, ce rapport du cadre de concertation porte sur le bilan des activités, la programmation 2020 des activités, l’autonomie financière des inspections techniques, la réforme des corps de contrôle de l’ordre administratif, ainsi que le projet de passage de l’inspection technique à l’autorité ministérielle d’audit interne. En rappel, L’ASCE/LC est un organe suprême de contrôle administratif interne et de lutter contre la corruption au Burkina Faso. A cet effet ses missions principales sont de prévenir et de lutter contre la corruption et les infractions assimilées, en vue de promouvoir l’intégrité et la probité dans la gestion des secteurs publics, privés et de la société civile.
La Rédaction