ven 29 mars 2024

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Festival International des communautés de la CEDEAO: l’édition 2021 referme ses portes

La 3e édition du Festival international des communautés de la CEDEAO a connu son apothéose après trois jours d’intenses activités. C’était dans la soirée de ce dimanche 31 Octobre 2021 du côté du terrain de Bissighin à Ouagadougou.

Le Festival international des communautés de la CEDEAO se veut un tremplin qui réunit chaque année les filles et fils de Bissighin. Lancée officiellement le 29 Octobre dernier, la 3e édition a été très riche en partage d’expérience et brillante avec des prestations artistiques très émouvantes. Les moments chaleureux qui ont marqué la fin de ce festival sont entre autres, des allocations des autorités coutumières, du promoteur. Aussi, des prestations artistiques ES NT ponctué cette cérémonie, notamment, Moustapha le foulga, Henriette Delor, Super Amzy, Kayawoto et bien d’autres.

Selon Yacouba Niampa, président de l’Organisation pour l’intégration et le développement durable (OIDD) structure organisatrice du projet, l’objectif était d’arriver à rassembler autant de personnes possibles autour d’un festival pour communier et partager des expertises des différentes communautés vivant dans l’espace CEDEAO. « Je tiens à préciser que l’association œuvre pour le bien de tous. Elle est ouvert à toute personne qui désire adhérer. Le combat pour nous, c’est de faire que ce festival soit le canal d’une intégration sous-régionale et demeure pour toujours. On compte beaucoup sur les jeunes et les habitants de Bissighin pour relever le défi de la prochaine édition », a-t-il des expliqué.

Prenant la parole au nom des autorités coutumières, monsieur Roger Sam, a réitéré les remerciements pour ce travail farouchement abattu depuis le début et exhorté les jeunes à cultiver la paix, l’amour, la tolérance et la solidarité entre eux. Il a ténu également à saluer l’idée de ce festival qui rassemble toutes les communautés internationales pour une meilleure intégration des peuples. C’est sous ses mots de fin qu’il a souhaité que les éditions à venir soient plus belles.

Pour les différents qui ont pris part à ces 72h de festivités, ce festival mérite bel et bien d’exister. C’est du moins ce qu’a laissé entendre Dimitri Kikieta, un spectateur présent à cette cérémonie de clôture. « Je suis très fière d’être là. Vu le monde présent et le nombre d’artistes, j’avoue que le festival est de taille. En plus, la gratuité a permis à nous autres de suivre les prestations et de s’épanouir. Pour moi, Bissighin est une localité qui a énormément besoin de ce genre de festival car rempli de jeunes artistes. C’est surtout un cadre idéal d’expression de ces jeunes artistes, surtout leur permettant de s’exprimer et de partager la même scène avec des grands artistes comme Super Amzy et Kayawoto. Cela leur procure plus de visibilité », a-t-il précisé.

André YAMEOGO (stagiaire)

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