Le Bureau burkinabè du droit d’auteur (BBDA) dont la mission principale est de collecter les droits d’auteurs et de les repartir à ses membres, a illustré la solidarité agissante face à la pandémie de la Covid-19 mais s’est également illustré en innovations.
Quatre (04) actes majeurs ont retenu l’attention de plus d’un Burkinabè au sein du BBDA. Il s’agit du Fonds exceptionnel de solidarité (FES) à l’inttention des artistes, du paiement des droits des journalistes et éditeurs de presse écrite, de la collecte spéciale des redevances de droits d’auteur auprès des partis politiques et de la révision de l’arrêté portant répartition des droits avec la suppression des terminologies « musique sérieuse » par musique du terroir et l’uniformisation des coefficients de la musique moderne d’inspiration traditionnelle avec la musique traditionnelle.
Tous ces acquis engrangés, sous le leadership du Directeur général du BBDA Walib BARA et de son équipe dynamique, posent ainsi les jalons de la modernisation de sa structure et de la gestion efficiente et efficace de l’administration culturelle et artistique. Et tout ce-ci dans l’ultime objectif de contribuer au développement de la culture et de l’art burkinabè et de répondre au slogan de cette structure qui est « la clé de l’épanouissement ». Oui, une clé de l’épanouissement de l’artiste burkinabè, de développement de cadres d’éclosion de talents artistiques et culturels. Walib BARA est d’ailleurs désigné meilleur manager africain du secteur de la culture au PADEV 2020 à Kigali et Prix Africain de Développement 2020 reçu en Côte d’Ivoire.
La rédaction