sam 23 novembre 2024

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Musée national du Burkina: Integral Regis Publicitaire veut accroitre la visibilité de l’infrastructure

Ce jeudi 21 mars 2024, s’est tenue la cérémonie officielle de la signature de convention entre le Musée national du Burkina et Integral Regis Publicitaire (IRP), à Ouagadougou, dans la salle de conférence dudit Musée. Cette convention qui a une durée d’un an renouvelable, entre dans le cadre de l’ambition du Musée de nouer des partenariats au « Burkina et ailleurs » afin de gagner en visibilité et de se réhabiliter.

Sabari Christian Dao : « L’objectif pour nous, c’est d’abord la visibilité du Musée national »

C’est conclu entre le Musée national du Burkina et Integral Regis Publicitaire (IRP) ! Ainsi, l’IRP s’engage à user de son expérience publicitaire à accompagner le Musée national du Burkina à « redorer le blason ». Du moins, c’est l’objectif de la convention qui relie désormais les deux parties. C’est ce que l’on peut d’ailleurs retenir des propos du directeur général du Musée national, Sabari Christian Dao. « L’objectif pour nous, c’est d’abord la visibilité du Musée national », a-t-il affirmé.

Ainsi, avec cette convention, le patron du Musée a estimé que les visuels du Musée national pourront désormais passer par les panneaux publicitaires de l’IRP. Pour M. DAO, « cette convention permettra au Musée de travailler dans cette dynamique de financer sa réhabilitation, mais aussi de mener à bien ses activités».

Judith Azoupé : « C’est un travail à faire, mais nous allons mettre notre expertise à leur disposition et mieux valoriser le Musée »

Pour sa part, l’IRP a pris l’engagement de faire « mieux » et de travailler à « redorer le blason » du Musée national. Du moins, c’est le souhait de la directrice ajointe, Judith Azoupé. « Etant déjà expérimenté dans le domaine de la publicité et ayant en notre sein une agence de communication, nous pensons faire mieux dans la visibilité du Musée », a-t-elle laissé entendre. Et d’ajouter « (…) c’est un travail à faire, mais nous allons mettre notre expertise à leur disposition et mieux valoriser le Musée ».

Même la fréquentation, poursuit-elle, nous trouvons qu’elle peut être mieux que de par le passé. Car, pour elle, beaucoup de Burkinabè ne connaissent pas ou ne fréquentent pas encore le Musée. Mais «nous pensons qu’avec notre concours, (…) le Musée sera mieux vu, a-t-elle promis.

Barnabé NAMOUNTOUGOU (Collaborateur)

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