L’Institut Africain des Industries Culturelles (IAIC), a organisé ce samedi 16 septembre 2023 à Ouagadougou, une conférence de presse. Ce fut l’occasion pour l’administration de l’institut de présenter l’institut, d’annoncer la célébration des 10 ans de l’IAIC mais aussi de parler des actions sociales qui accompagneront cette célébration.
Créée le 11 septembre 2023 et ouverte en octobre 2014, l’IAIC est une institution privée d’enseignement supérieur du Burkina dont les domaines de formation sont les sciences de l’Homme et de la société. L’IAIC s’est engagé à promouvoir les formations innovantes et adaptées à nos économies. Sa mission est de faire de la culture et des sciences sociales, un moteur économique tout en contribuant à la formation de compétences.
Pour marquer une décennie de croissance et d’engagement envers l’éducation, l’IAIC célèbrera en 2024 durant 72h, son 10e anniversaire. Cet évènement important sera marqué par une série d’activités spéciales dont des compétitions qui vont aboutir à des récompenses, des sorties de promotion, la concrétisation et la formalisation des partenariats, et bien d’autres activités.
Par ailleurs, il faut noter que cette célébration des 10 ans d’existence de l’institut sera marquée par des actions sociales pour l’effort de paix. En effet, l’IAIC offre pour cette rentrée scolaire 2023-2024, une bourse de réduction de 25% des frais de scolarité à toutes les forces combattantes et leurs ayants-droits, ainsi qu’une bourse complète à deux personnes déplacées. Une réduction de 25%, sera également accordée à deux étudiants de chaque média du Burkina.
Pour le fondateur de l’Institut Africain des Industries Culturelles, Dr Noël Sanou, la matière première du Burkina est la culture, le social. « L’ IAIC offre des bourses de réduction aux FDS depuis longtemps mais à l’occasion du 10e anniversaire de l’institut, nous avons décidé d’élargir l’offre de bourse de formation à l’ensemble des forces combattantes dont les FDS et les VDP mais aussi à la presse nationale pour une contribution à l’effort de guerre », a-t-il laissé entendre.
Aïssata TRAORE (stagiaire)